box de Fougue

♠ Une longue journée , a tes côtés.

Comme tout les matins au dehors , la lumière de l'aube fait son entrée. Peu à peu , une pale lumière vient bercer la nuit. Le ciel autrefois noir se colore en mauve pour devenir bleu foncé. La lumière vient peu a peu s'incruster entre les barreau de fenêtre puis se glisse délicatement sous les paupières. Les oiseaux au dehors , autrefois endormis gazouillent avec des reflets amoureux. Le primptemps pointe son nez , amenant avec lui , les premiers gazouillement amoureux. La neige fond doucement , chauffée par les rayons de soleil. Bientôt la lumière me réveillera , pour me faire commencer une nouvelle journée , auprès de ceux qui me sont le plus chers ; mes chevaux. " BIP ! BIP ! BIP ! BIP ! BIP ! BIP !"... Et comme chaque matins , un bruit strident fait son entrée. Comme chaque matin , je me réveil doucement , ouvrant les paupières peu à peu puis , comme tout les matin , j'envoie le réveil voler a travers la pièce devenue clair. L'oreiller entre en contact avec mes mains. Je le place sur mon visage en soupirant un grand coup puis je plisse les paupières en ouvrant les yeux. 10 heures. Déjà. Alors , comme tout les matins , avec la même fainiantise , je me lève....Alors , je marche vers la fenêtre. Le soleil entre en contact avec mes yeux endoloris a cause de la lumière. Je baille puis inspecte le soleil , soucieuse. Depuis quand le soleil était venu...? Mon regard ce pose a présent au sol. La neige a fondue et le verglas a fait son apparition.Oh non... Je soupire puis m'assied , là , face a la fenêtre , en tenue de nuit".Mes soupirs redoublent. J'ai pas envie de me lever... Tout simplement. Mais , comme tout les matins , mon regard ce pose sur un bâtiment et toute mon envie revient. Mes chevaux , mes amours ma vie. Allons-y.Soudain , on toqua précipitamment a ma porte. Je murmura des mots incompréhensible puis dit " Entrez...". La porte s'ouvrit lentement. MERDE ! J'était en nuisette ! Je pria pour que sa soit ma mère ou mon père et dans le pire des cas mon frère. Malheureusement, un garçon brun a la peau mate arriva en trombe dans la chambre. Je poussa un hurlement de surprise. Le garçon ne fit pas attention a moi tout de suite puis quand il balaya mon corps du regard, ses pomettes s'enpouprerent joliment. " Euh-euh... J-je - il me reluqua puis s'exusa pour enfin poser son regard brûlant droit dans le mien - suis-le-nouveau-palefrenier-venu-prévenir-toi-chevaux-abattoir. j'eclata de rire sous son expression gênée puis , me couvrant d'une robe de chambre je l'invita a prendre place a mes cotes. Le jeune homme hésita puis finalement s'assie a mes cotes. Je lui souria chaleureusement puis lui demanda de répéter ce qu'il venait de bougonner " Euh oui , exuses moi Mlle... Je suis Seth , le nouveau palefrenier.. Et euh j'ai vue sur le panneau d'affichage qu'il y avait des chevaux a vendre sous risque d'abattoir... Euh un gars qui s'apelle Samuel ma dit de venir vous voir au plus vite parceque vous allez les achetez..". Je lui lança un regard confus. Il me regarda intensément pendant que je réfléchissais a cent a l'heure. Finalement je lui demanda de me rejoindre au écuries , plus tard. Il accepta et partit en vitesse. Je resta longtemps sur mon lit , a réfléchir. Oui j'allais acheter ces chevaux , bien sur que j'allais les acheter....


En sortant de chez moi , j'observais les alentours. Soudainement , je me sentie glisser. Une main me rattrapa. Je me retourna avant de tomber sur les fesses " Merci papa ". Je poursuie ensuite ma route , fesant attention ou je marchait cette fois ci. Le mistral soufflait farouchement sur mon visage blanchit par le froid. Bientôt , un bâtiment sombre se déculpa de tout le reste. Je l'aurai reconnue parmit mille. L'écurie. Peu a peu , une odeur de foin embauma l'air. Je l'huma plein nez , appréciant cette odeur réconfortante. La sève de pin enfin l'odeur fut donc assez vite remplacée. Je caressa du bout des doigts l'écurie de bois sombre puis d'un mouvement, ouvri les portes a battant. Des que j'entra , mon monde vint. Des tête de chevaux dépassait de tout les coins, je me sentis aussitôt chez moi. Oh mon dieu j'aimais cet endroit. Mes yeux se posèrent rapidement sur un cheval palomino a la robe sombre , couverte de terre. J'étouffa un cri de surprise puis on me tappa gentiment l'épaule. Je me retourna vivement me retournant nez a nez avec Samuel un palefrenier " Seth ta parler des chevaux ? ". Il me parla rapidement, comme apeuré. Je lui intima de se calmer en m'approchant du box du palomino. Samuel le lança un regard exaspérant. Tout en caressant continuellement le beau palomino sur le chanfrein, j'écoutais d'une oreille très attentive son discours " Alors voilà , tout a l'heure j'ai été près de Koplihu , tu sais la le petit village .... Et donc j'ai salué madame Cocu , tu sais la petite vielle complètement folle qui a je ne sais combien de chat..? Et bien elle m'a dit d'aller voir au bout de son chemin , qu'il y avait un marchands de chevaux qui allait emmener ses chevaux a l'abbatoire. Ils choisissait les plus gros et en bon état. Et autant te dire qu'il ne l'était pas ... ". D'un geste doux , je lui intima de se taire , réfléchissant au infos qu'il venait de me donner. Fougue me lorgna discrètement puis donna un coup de chanfrein dans mon épaule , demandant de l'attention. " Oui... Attends mon beau ... Poursuit !". Le palefrenier regarda fougue un court instant puis reprit son récit , concentre " Et donc , je suis allé voir ! La , plus d'une vingtaine de chevaux y était. Je lui est donc demande des renseignement et il ma dit qu'il allait se débarrasser de toute ses bêtes. Peu après qu'il m'est expliquer sa , un camion est partit , je n'est pas compris tout de suite mais il y avait les chevaux dedans... Angélique je suis désoler si j'avait sut je te promet... ! ". Supplia t'il , complètement anéantis. Dans un geste de réconfort, je plaça ma main sur son épaule , il continua alors Angélique , j'ai contacté la SPA et quelques association ... Ces chevaux vont être remporté a la la boucherie dans un mois a peine , tu te rend compte , on a un délais , on peut les sauves !".Je réfléchis un instant puis dit " Mais bien qu'on ne va pas les laisser , va voir mon père tout de suite , explique lui tout , va court !" le jeune homme s'executa et partit. Je me retourna lentement vers l'ange doré enfin l'ange doré couvert de bout a mes côté. Je soupira un gros coup " Vient , allons nous promener ". Les yeux perdus dans le vagues , j'entra dans le box du bel entier et lui passa un licol en cordelette.


Doucement , le cheval me gratifia d'un coup de chanfrein dans l'omoplate. Je rie puis sortie. Il me suivit docilement a l'extérieur. Je lui fit traverser l'allée en passant par la sellerie. Ses sabots ferré clapotait sur le sol de béton. Le son était juste magnifique. Des têtes de chevaux sugirent sur notre passage. Je rie et caressa une a une les têtes , n'en négligeant aucunes. Finalement , nous arrivions a l'extérieur , ou il fesait meilleur que tout a l'heure. Le soleil brillait légèrement , réchauffant assez l'air pour ne plus grelottez. Bientôt , l'air de pansage se découpa de la brume épaisse qui nous entourait. Je me dirigea vers celle-ci et une fois proche , je ralentit le pas. Fougue , en bonne étalon que c'était regardait partout avec curiositée. Je le gardait , légèrement amusée. Finalement, je l'attacha a la barrière de l'endroit de pansage et ouvri ma malette. Je commença par sortir un bonbon que je donna , paume ouverte au jeune cheval. Puis , après qu'il l'est mâché puis avale , je pris mon étrille souple de caoutchouc. Je la pris fermement dans ma main et commença par la passer en de beau cercle sur son encolure musclée. La terre présente sur cette partie du corps fut bien vite décollée. Je mattela ensuite au reste de son corps puis je fit l'autre côté. Progressivement , des morceaux de boue sèches jonchaient au sol. Je marquai en même temps que du sel avait été mis au sol. Je sourie puis remie la brosse dans ma malette. Je prit ensuite mon bouchon que j'épousssa en même temps. Des poils en grande quantités s'y décollèrent. Je le brossa ensuite sur la barrière puis enfin , sur l'etrille. Je souleva la crinière de mon palomino dont la robe commençait a ressortir et brossa sous la touffe de poil. Une couche de poussière envahie l'air me fesant troussée. Je rie de bon cœur puis continua sur tout le reste du corps.finalement, je brossa de nouveau le bouchon avec l'etrille puis passa le bouchon en des mouvements léger et tendres sur les membres de l'entier. Je fit de même de l'autre côté de son corps puis je rangea la brosse. Je prit ensuite le bouchon. Je glissa la brosse dans ma paume puis je commença par brosser doucement la tête. Je me saisie d'un montant du licol et passa doucement la brosse sur son visage. Peu a peu , de beaux reflets dore apparurent , s'éclairant facilement dût au soleil levant. Je passa la brosse sur tout son corps puis une fois fait , je repris le bouchon que j'épousseta de nouveau avant de le passer généreusement dans la crinière et dans la queu. Le palomino frissona mais ne dit rien. Je pris ensuite une brosse a crins et enleva le plus gros des nœuds avec. Finalement, après avoir peigne un long moment crinière et queu , je les tressa simplement toute deux. Je recula ensuite, et admira le beau palomino. Je m'approcha de ma boîte puis après avoir fouillée un long moment ´ je sortie un vieux chiffon que j'imbiba généreusement de baume nettoyant , lustrant et nourrissant. Je le passa sur tout son corps puis admira le résultat. Le cheval était vraiment magnifique. Seuls ses sabots était encore sale. Je repris donc le bouchon et nettoya la sole , enlevant les grosses saletés. Je cura ensuite la sole avec une petite brosse a sabots. Ensuite , je me munie d'un cure-pied et cura soigneusement chaque sabot de l'entier. Enfin , je graissa le dessous de son sabots , passant une couches généreuse sur les gnomes qui était très sensible puis j'en passa de la spéciale sur la sole. Je prit ensuite une lingette spécial yeux/naseaux ; zones sensibles et je commença par les passer sur le contours des yeux. Fougue bougeait vaguement mais je le calma rapidement. Je passa ensuite la lingette sur les contours sensibles de ses naseaux et enleva la morve. Je les jeta rapidement dans un seau " poubelle". Puis alla chercher un seau d'eau dans l'écurie. Je le remplie d'eau puis le ramena au cheval qui but généreusement. Je l'avait ensuite chaque recoin de sa bouche pour qu'il soit parfait, cela ne servirait a rien mais au moin , il était nickel. J'alla ensuite chercher du matériel de monte et revient. Je commença par poser un amortiseur bleu ciel sur son dos puis mis un amortiseur. Il gigotât un peu mais je le rassura et il se calma. Je posa ensuite une selle de cuir neuve sur son dos puis je sangla. Je laissa les étriers au plus court pour le moment. Je lui passa ensuite un licol en cuir plus souple et y attacha un caveçon. Je le mena ensuite vers le manege ou je prit avec moi une muserolle croisée. J'allais aujourd'hui teste un mord assez fin quoique pas trop pour ne pas lui blesser la bouche

Manege

En rentrant du manège , le beau Fougue était bien fatigué. Néanmois , il lui en restais en énergie et je comptais bien l'exploiter. Je le mena donc vers l'aire de pansage. Je regarda ma montre : 11 heures. Je soupira. Je souleva le quartier de selle et défit la sangle. Elle retomba au sol avec bruit. Le palomino recula , affolé. Je le rassura longuement avant qu'il ne se calme. Finalement , je passa la lanière de cuir sur la selle puis je régla les étriers au minimum. Ensuite , je pris tapis , amortisseur et selle et j'alla ranger celà a la sellerie. Je revient ensuite et lui enleva le filet. Je remplaca celui-ci par un licol puis caressa tendrement sa tête. J'alla ensuite a la sellerie. Je salua quelques palfreniers puis j'alla au robinet , prendre de l'eau fraiche. Le liquide coula lentement dans la bassine. Je ramena ensuite le seau au cheval qui s'hydrata.

" Allez boit mon beau et après nous irons au marcheur...".

Tout en le regardant boire je réfléchissait rapidement. Oui , j'allais d'abord l'amener au rond de longe et pourquoi pas faire un peu d'éthologie avec lui après.. ? Le regardant du coin de l’œil , je m’approcha doucement de lui et posa ma paume sur son front chaud. La neige commençait doucement a tomber et je décidais donc de m'activer , histoire que le loulou qui transpirait un peu , n'attrape pas froid. Je partit donc chercher ma mallette de pansage a la sellerie puis revint voir le palomino. Je posa la mallette sur le sol bétonné puis sorti une étrille américaine. Je posa celle-ci sur la mallette puis je pris une éponge que inbibée rapidement d'eau tiède. Ensuite je passa sur tout les endroits ou il avait sué. Je pris ensuite une poignée de paille et le frictionna partout. Je repris mon étrille américaine et la passa dans le sens du poil. Tout en m'activant , je parlais au beau palomino. Bientôt ,jeu fini et je passais au bouchon puis je donna un rapide coup de cure-pied. Je fini par passer la brosse a crin puis après un dernier coup époussette , je lui passa un licol en cuire neuf ainsi que longe assortie. Je clippa le caveçon puis le détacha , le menant vers le marcheur.